Musécrire en violon solitaire les exils, quatre voies quatre cordes tendues à juste, quatre entrées des clefs, quatre trajectoires leurs bris, tessons, fragments, collages non aléatoires, leurs déroutes, raccourcis, retours, sous gemme maritime térébrante crochée aux torsades tripières, pauvre mouton, filées de cuivre, quatre fois quatre autant de pareillement récurrences, renversements, augmentations, gouges et cintres deux essences d’arbres, diminutions, accordailles, une troisième pour touche, à l’amble au suspendu au tactus, soixante à quatre-vingt crins, pas plus, pauvre étalon, haussés à la lettre mouchetée. Musécrire tout ceci, en vertical en horizontal, et les passages de l’un à l’autre en tangentes subites, en simultané des corps table clave dos volutes, en simultané point contre point contact des poussières térébenthines aux boyauderies crins tactiles, en simultané d’adjacent contrapunctique sinueux les dermes des chairs arboricoles, en fugue unique profuse sans entour possible ni suite ni alternes ni danses de part d’autre, avant après, autour dedans, rien que fugue aussi sec, contrées trajets exils depuis, vers d’autres murs clefs jardins empoissés à l’entendement des rétines.