À la table. Sur papier. Papier à scriber les sons et la pulse des espaces. Chaque jour différente une ritournelle née du matin de la nuit, de la collision des émergences, mantra soliloque obsession oiseaux. Du papier réglé cinq lignes infinies il faut. Parallélépipède couché sans perspective, barreaux horizontaux par cinq et supplémentaires si envolées et sans toit. Coucher la ritournelle en cellule, pas bouger, y revenir, la réveiller, la pincer, la tourmenter pour la consoler l’écouter ressasser. Bien du petit vent dans les tympans. Lever l’exégèse des sonorités d’une toile aux titres des éléments. Ne sachant pas, ni les ombres ni ce qu’elles avaleraient. Libérer par l’emprisonnement, géométrie à casser, résistance par augmentation du volume de la ferveur. Chaque barreau s’amollirait comme élastique comme phalange nerf muscle fléchis abducés torsés étirés adductés. Jusqu’à la limite des déchirures. Grand feu.
Quatre voies cinq lignes. Quatre voix cinq routes. Quatre cordes et cinq fois cinq barreaux supplémentaires en échelle, vers où. Jamais au grave, terre, plus bas ne saurait s’encaver de plus de deux barreaux. L’au-delà du sol se décorde. Quatre voix pouce suiveur et fourche en crabe. La mèche aux supplémentaires montre, de la pointe du talon, trace. Vois. Voies. Va. Sans peur, nulle mort, la chute grinçante au pire le cou coupé. Tout cela vaincu ou vain.
Nul n’entendrait. Les mains. Les oiseaux. La gorge. La ritournelle.